JL8, When Bruce was young…
Bonjour amis BDiens, je passe vous faire un coucou et vous présenter un webcomics dont je suis devenu fan.
Tout le monde connait Maliki et Boulet qui comme tant d’autres on accédé à la postérité par le biais de blog sur lesquels ils ont lâché leurs aventures ou celles de leur avatars.
Pour le coup je vous emmène outre atlantique parler de Yale Stewart un auteur qui gagne à être connu via JL8.
Qui est Yale Stewart et qu’est donc que JL8?
Yale Stewart est dessinateur freelance. Il s’est lancé fin 2011 dans un webcomic rapidement apprécié sur la toile, JL8. Le concept est relativement simple et commun à d’autres webcomics : proposer, de manière régulière, une planche (un strip) qui narre les aventures d’un personnage ou ici de la Justice League of America, la fameuse JLA. Mais là où Yale Stewart se démarque du commun des auteurs, c’est que les histoires, impliquant Superman, Batman, Wonder Woman et les autres, se déroulent alors qu’ils sont tous enfants et ce dans un environnement connu : l’école ou la maison. Le dessinateur offre ainsi aux fans DC un parallèle aux fameux X-Babies de Marvel dont je suis accroc depuis leur naissance dans le mojoworld.
Pour ceux qui n’ont jamais lu de comics DC (j’en fais plus ou moins partie car je suis plus Maison des idées que Distinguée Concurrence), je vous rassure : JL8 est une histoire qui ne reprend donc pas la trame classique de DC Comics, du coup ça permet à tout le monde de commencer sans se bouffer tous les comics pour piger le scénario !
Néanmoins, je pense que Yale Stewart a réussi un tour de force car il offre un webcomics qui plaira aussi aux lecteurs de DC en plus des néophytes. Derrière l’aspect enfantin des ces gamins (JL8 : 8 pour 8 ans), JL8 aborde quand même des thèmes adultes (le statut de la femme dans le monde super héroïque par exemple avec Wonder Woman, devenir un héros en respectant un code de conduite avec notre boy scout, se faire accepter malgré sa différence en tant que Martian Manhunter…) et multiplie les références grâce à nombreux caméos de personnages réels ou BD : Darkseid (très bon comme gag), Julius Schwartz, Neil Gaiman, etc. Ce webcomic vous est donc vivement recommandé par ma pomme et Cie.
Au delà de cette série, j’ajouterais que Yale Stewart suit de près l’actualité et a participé à sa manière à de nombreuse actions pour aider à récolter des fonds ou différents hommage comme celui rendu aux enfants victimes de la fusillade dans une école primaire dans le Connecticut. Si ça prouve pas que c’est un type bien dont le taff mérite d’être lu et soutenu, non ?
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